Voltige aérienne
Samedi dernier, par une belle journée Je regardais le soleil se lever. Cela faisait déjà un bail que j'attendais ce jour. Car ce jour-là était très particulier : en cette incroyable journée, j'allais effectuer un baptême de voltige aérienne à Montpellier ! Deux heures plus tard, nous nous sommes pris le départ en famille pour rejoindre l'aéroclub, où j’ai fait la connaissance de mon pilote, Colin. Deux autres participants s'apprêtaient comme moi pour découvrir les sensations du vol acrobatique. Ils étaient eux aussi venus accompagnés de leur famille. Une fois que chacun a pris place, voltige aérienne Thomas a alors joué les professeurs. Il nous a présenté le déroulé de la matinée. Tout le monde écoutait, fasciné. Puis nous avons tiré au hasard l'ordre dans lequel nous allions passer : j’étais bon dernier à passer. C'était tant mieux, je voulais d'abord voir ce que ça donnait de l’extérieur. J'ai donc regardé le premier passager. Bah, vu d'en bas, ça ne paraît pas trop méchant. Le moment vient où je dois mettre ma combinaison de vol. J'ai à peine le temps de me préparer que l'appareil libère son passager précédent et le pilote m'attend. Je rejoins l'appareil, le parachute dans le dos. Philippe s'assure que mon casque est opérationnel. L'heure est arrivé, nous nous retrouvons face à la piste de décollage. Karl me rappelle l'existence du sac à papier à mes côtés. Et là, ça y est : on avance et de plus en plus vite ! Une fois en l'air, je repense au briefing, et je sais ce qui m’attend comme première figure ! Puis Max me signale qu'on va amorcer les premières figures. Et quand mon pilote littéralemeent en vrille, je ne peux m'empêcher de crier. Les sensations sont phénoménale ! La terre et le ciel bascule dans tous les sens, mais ce n'est pas trop dur. Mais ce n'est là qu'un début, car les figures s'enchaînent sans le moindre répit : tonneaux lents, rapides,, immelmann, loopings se suivent et ne se ressemblent pas ! Au final, 15 minutes de pur bonheur. Je suis sortil'appareil, mais j'ai adoré ce baptême de voltige!A lire sur le site de ce de voltige en avion à Courtrai.
Un rêve de liberté
Je suis heureux de me joindre à vous ces jours-ci dans ce qui s'abaisse de tous les temps parce que la meilleure manifestation pour la liberté dans le passé de notre nation. Plusieurs rapports dans le passé, un Nous fantastique, dans l'ombre symbolique où nous restons, se sont mis d'accord sur la Proclamation d'émancipation. Ce décret capital a émergé comme étant un éclairage de balise fantastique qui aspire à un nombre incroyable d'esclaves nègres qui avaient auparavant été brûlés par les flammes de l'injustice cinglante. Il est apparu comme une aube joyeuse pour mettre fin à la longue soirée de captivité. Un siècle plus tard seulement, nous devons faire face au simple fait tragique que le Noir n'est toujours pas totalement libre. 100 ans plus tard, la durée de vie du Noir est malheureusement encore paralysée par les menottes de la ségrégation et aussi par les chaînes de la discrimination. 100 ans plus tard, les modes de vie des Noirs sur une île tropicale solitaire de pauvreté au milieu d'une immense mer de prospérité de substance. Cent ans plus tard, le Noir languit toujours à l'intérieur de la communauté américaine et se retrouve en exil sur son territoire personnel. Alors que nous sommes venus ici en ce moment pour dramatiser un problème épouvantable. D'une certaine manière, nous sommes arrivés dans la capitale nationale pour encaisser un chèque. Lorsque les concepteurs de notre propre république ont écrit les merveilleuses phrases de la Constitution et de la Déclaration d'autosuffisance, ceux-ci signaient un promesse de savoir que chaque Américain a fini par être l'héritier. Cette note était une garantie que tous les hommes pouvaient être garantis des droits inaliénables à la vie, à la liberté et à la recherche du contentement. Il est clair aujourd'hui que les États-Unis ont manqué à ce promesse d'être conscients dans la mesure où leurs gens de couleur sont inquiets. Au lieu de commémorer cette exigence sacrée, les États-Unis ont dû aux nègres un chèque insatisfaisant; un chèque qui a retourné marqué «fonds insuffisants». Mais nous refusons d'imaginer que cette banque de justice est en faillite. Nous refusons de croire qu'il n'y a pas assez d'argent dans les fantastiques coffres de chance de ce pays. Nous sommes donc venus à l'argent ce chèque-un être sûr que nous fournira après désir les richesses de la flexibilité et aussi la sécurité des droits appropriés. Nous sommes maintenant également venus à cet endroit sacré pour signaler aux États-Unis l'urgence intense d'aujourd'hui. Cela peut être presque pas le temps de participer au chic de refroidissement ou d'accepter la drogue tranquillisante du gradualisme. Le moment est venu de concrétiser la promesse de la démocratie. Il est maintenant temps de passer de la vallée sombre et désolée de la ségrégation au chemin ensoleillé de la justice raciale. C'est le moment d'ouvrir les portes du hasard à la plupart des enfants de Dieu. Le moment est venu d'élever notre pays des sables mouvants de l'injustice raciale vers le solide rocher de la fraternité.
Quel futur pour l’aviation ?
Les dernières semaines, qui ont semblé être des mois, simulateur Boeing ont été remplies d'anxiété et d'incertitude au sein de l'industrie aéronautique. Il semblait que les changements arrivaient à un rythme sans précédent, alors que les gouvernements du monde entier commençaient à imposer des limites de voyage pour empêcher la propagation de COVID-19, avec des modifications des limites se produisant quotidiennement. Alors que la situation s'est normalisée autant que possible dans de telles circonstances, les compagnies aériennes n'opérant que des vols cruciaux, y compris des vols de fret et de rapatriement, les perspectives sont aussi brumeuses que les scènes d'ouverture du jeu vidéo Silent Hill.
Beaucoup conviennent que l'industrie ne restera pas sur la même trajectoire de croissance que celle qu'elle avait connue avant l'épidémie, car la demande et la confiance dans les voyages en avion ont subi un énorme coup. Alors que les prévisions vont d'effets légers à absolument dévastateurs, il est clair que l'industrie aéronautique ne sera plus la même après la crise. Après tout, chacun des chocs précédents a laissé sa marque; - si ce serait le la consolidation en Amérique du Nord après le 11 septembre ou la domination que les compagnies low-cost ont établie en Europe après la crise financière de 2008, certaines chuteront et d'autres augmenteront après la coronacrisis.
À mesure que le coronavirus se répandait dans le monde et qu'il devenait clair que la demande des passagers ne se rétablirait pas à court terme et que les compagnies aériennes devaient réduire leurs coûts de manière significative à mesure que les flux de trésorerie diminuaient, les entreprises ont commencé à expédier à la retraite leurs avions plus anciens et moins économes en carburant. Même les jeunes canons, qui ont été récemment construits, ne sont pas souhaités: Airbus a indiqué qu'il a été contraint de réduire les taux de production, les compagnies aériennes différant les livraisons d'avions nouvellement construits. Boeing a fermé ses portes pendant deux semaines à partir du 25 mars 2020. Une mise à jour début avril a annoncé que le constructeur allait suspendre indéfiniment ses principales usines de Seattle, dans l'État de Washington, tandis que le Boeing 787 Dreamliner la production de North Charleston, en Caroline du Sud, a également été suspendue indéfiniment. Le 17 avril 2020, le planificateur basé à Chicago a indiqué qu'il prévoyait de reprendre progressivement les processus de fabrication des avions à partir du 20 avril 2020.
Les problèmes pour les deux fabricants d'équipement d'origine (OEM) ne s'arrêtent pas là. À l'horizon, les deux ont des produits nouveaux et à venir sur la table. Alors qu'Airbus avait sa juste part des problèmes de vente de l'A330-800neo avant la coronacrisis, Boeing pariait beaucoup sur le 777X: l'avion pliant à bout d'aile était censé devenir une autre vache à lait pour l'entreprise, rejoignant le 737 MAX et le 787, tous deux phares qui souffrent également de leur juste part de problèmes. Le 777X, destiné à remplacer le 747 vieillissant et la technologie vieillissante du 777, a bien démarré. Boeing avait amassé 309 commandes de l'avion commercial le plus long de huit clients, dont 10 associées à des clients non identifiés.
L'Airbus A380, par exemple, un monstre à part entière, voit son avenir menacé sous ses yeux. Les compagnies aériennes retirent déjà le double étage en raison de ses marges bénéficiaires étroites - avec un avenir incertain quant au nombre de demandes que les compagnies aériennes devront affronter des passagers, l'avion a été laissé indésirable. Lufthansa, par exemple, a été très vive dans sa décision, car le groupe de compagnies aériennes allemand a annoncé qu'il allait retirer six A380 le 8 avril 2020.
Du plat surgelé aux petits plats faits maison
Il n'y a que les idiots qui ne changent pas d'avis, comme on dit. Et dans ce cas, je ne suis pas un imbécile. La semaine dernière, j'ai suivi un cours de cuisine chez un chef pour participer à un cours de cuisine qui m'avait été offert par ma femme. Ca peut paraître anodin, c'est que vous ne faites pas partie de mon entourage : car à une époque pas si lointaine que ça, la cuisine un truc inutile et has been. Cela me semblait ridicule, qu'on puisse se dépenser durant des heures aux fourneaux pour un résultat qu'on ingurgite me semblait être hallucinant ! A cette époque, les plats tout faits, en ce temps-là, étaient alors mes meilleures amies. Et puis un jour, je ne sais pas trop pourquoi, je me suis mis à cuisiner. Je ne sais pas, un verrou a dû sauter dans mon esprit. Voilà comment je me suis mis à cuisiner, un peu plus chaque jour. J'ai eu quelques félicitations de mon entourage, et cela a suffi à entretenir la flamme. Alors certes, je ne serai jamais Lignac, mais j'ai quelques victoires à mon actif. Je ne sais toujours pas pourquoi je passe tellement de temps devant les fourneaux. Mais je crois que ça me relaxe, après une longue journée de travail. Il n'y a selon moi rien de tel que de couper des aliments en petits morceaux au quotidien ! Imaginer de nouveaux plats permet de prendre du recul face aux problèmes concernant le travail... Si vous êtes un enthousiaste du tout micro-ondes, redécouvrez votre cuisine, et vous cèderez rapidement aux sirènes du four. Parce qu'en plus d'être un plaisir, c'est à la mode, en plus d'être intéressant. Ca se remarque dans le nombre croissant d'émissions télé dédiés à la cuisine ou au pain... Si j'ai longtemps jugé ce genre de programmes, maintenant, je les suis passionnément. Parce qu'évidemment, je ne suis plus les recettes au mot près. Aujourd'hui, je passe le plus clair de mon temps à concevoir de nouveaux plats. Si vous ne deviez retenir une seule chose de ce billet, c'est la suivante : si j'ai pu céder à la fièvre culinaire, c'est que tout le monde est en mesure de le faire ! D'ailleurs, je vous mets en lien mon cours de cuisine, . Juste au cas où, n'est-ce pas !
Plein les yeux
La semaine dernière, dans le cadre d'une visite que je rendais visite à des amis, j'ai eu l'occasion de faire avec eux un vol en hélicoptère à Lyon. C'était la première fois que je réalisais un vol de ce type et en fait, j'ai été surpris du décalage qu'il peut y avoir avec le vol en avion. Je prends souvent l'avion (pour le travail) et ne suis pas particulièrement craintif. Mais un jour, j'ai eu l'occasion de faire un vol sur un minuscule appareil aux Caraïbes, et un orage nous est tombé dessus. C'était au Pérou, et avec les vibrations qui agitaient l'appareil, autant vous dire que j'ai eu une sacrée trouille ! Depuis cette expérience, je craignais un peu de remonter à bord d'un petit appareil. Cela dit, j'ai vite été tranquillisé quant aux sensations. Et en effet, à partir du moment où l'appareil a quitté la terre ferme, j'ai été très surpris par le calme du décollage. Il n'y a pas eu la moindre secousse. Et le vol dans son ensemble a été particulièrement agréable. Lorsque notre hélicoptère réalisait un virage et penchait d'un côté, j'ai tout de même observé quej'avais tendance à me raccrocher à tout ce qui m'entourait. Mais ce n'est pas violent pour autant et on s'y fait vite. Et le point de vue était hallucinant m'a vite fait oublier tout ça : c’était juste sublime ! Si Pau est déjà beau vu du sol, c'est encore cent fois mieux là-haut. Loin de l'agitation du monde, l'expérience est vraiment planante. Rien de mieux que de prendre de la hauteur pour admirer sa beauté. En outre, j’avais réservé ce vol tard dans l'après-midi, pour admirer cet incroyable panorama au coucher du soleil, au meilleur moment de la journée. Mon vol en hélicoptère fut au final une très belle expérience, et si vous n'avez jamais tenté l'aventure, je vous la conseille. Je vous mets en lien le site où j'ai trouvé mon vol en hélicoptère, pour ceux qui habiteraient à La Baule. 😉
Les baleines aiment le coronavirus
Lorsque les baleines à bosse ont migré vers Glacier Bay en Alaska cette année pour passer les longues journées d'été à se nourrir, elles sont arrivées à quelque chose d'inhabituel: des eaux plus calmes.
Alors que la pandémie mondiale ralentit le transport maritime international et maintient les navires de croisière à quai, les scientifiques trouvent nettement moins de bruit dans l'océan. Cela pourrait soulager momentanément les baleines et autres mammifères marins très sensibles au bruit.
Grâce à des réseaux d'hydrophones sous-marins, les scientifiques espèrent apprendre comment la communication des mammifères change lorsque le drone des navires est arrêté, ce qui pourrait éclairer de nouvelles politiques pour les protéger.
«Il reste encore beaucoup à faire», déclare Jason Gedamke, qui gère le programme d'acoustique des océans à NOAA Fisheries. "Lorsque vous avez des animaux qui, pendant des millions d'années, ont été capables de communiquer sur de grandes distances dans l'océan, et qu'une fois que nous introduisons du bruit et que nous avons augmenté les niveaux sonores et qu'ils ne peuvent pas communiquer sur ces distances, il y aura clairement un impact Là."
Calme à Glacier Bay
Alors que de nombreux scientifiques ont annulé les travaux sur le terrain cette année en raison de la pandémie, les biologistes de la faune du parc national de Glacier Bay l'ont maintenu en faisant des excursions en bateau en solo pour suivre la population à bosse. Les données qu'ils collectent - comptage et identification des baleines - continuent de tenir des registres qui remontent à 35 ans.
«L'un des groupes est une mère et son petit», explique la biologiste de la faune, Christine Gabriele, alors qu'elle regarde les baleines faire surface par une fraîche matinée de mai. "Notre septième de l'année. C'est donc une très bonne nouvelle."
Ces baleines à bosse se remettent encore d'une période de mauvaises années où peu de veaux sont nés. Dans le Pacifique, les températures océaniques plus chaudes, connues sous le nom de «blob», ont considérablement perturbé le réseau trophique. Cette année, les signes sont plus encourageants. Gabriele peut le dire car elle reconnaît les baleines individuellement, en particulier celles qui reviennent depuis des décennies.
«Ce sont vraiment des homebodies», dit-elle. "Ils retournent aux mêmes lieux d'alimentation année après année."
Mais sous la surface, Gabriele et ses collègues apprennent beaucoup plus avec un hydrophone, enregistrant continuellement le paysage sonore sous-marin. Les bosses sont un groupe bavard. En plus de leurs chansons mélodieuses bien connues, ils font des «whups» et autres bruits, soit pour coordonner l'alimentation, soit simplement pour rester en contact les uns avec les autres. Le son peut parcourir des kilomètres sous l'eau, parfois des centaines de kilomètres, bien plus loin qu'une baleine ne peut le voir.
«Les baleines utilisent le son dans presque tous les aspects de leur vie quotidienne», dit-elle. "L'étude de l'environnement sonore sous-marin est très importante car elle nous aide à voir le monde comme les baleines l'utilisent réellement."
Les baleines partagent également Glacier Bay avec des bateaux de croisière, des bateaux et des catamarans, qui sont réglementés pour limiter leur nombre. Lorsque le bruit du bateau est fort, Gabriele et ses collègues ont constaté que les baleines doivent s'adapter, un peu comme les gens le feraient lors d'une fête bruyante.
«Afin de communiquer entre eux, ils devront peut-être être proches les uns des autres», dit-elle. "Ils pourraient avoir à se répéter. Ou ils devront peut-être attendre un moment plus calme avant de commencer à vocaliser. "
Mais cette année, le trafic maritime est en baisse.
«C'est beaucoup plus calme», dit Gabriele. "Rien qu'en l'écoutant, vous pouvez le voir."
Une analyse de l'Université Cornell a révélé que les sons les plus forts sous l'eau à Glacier Bay en mai 2020 étaient deux fois moins forts que ceux de mai 2018. Ainsi, Gabriele et son équipe écoutent avec impatience les appels à bosse pour voir comment ils pourraient changer.
«La pandémie a créé cette opportunité inattendue pour la science, une sorte de chance unique dans sa vie d'examiner le comportement de communication des baleines sous sa forme naturelle et non perturbée», dit Gabriele.
Accalmie pour les épaulards
Les scientifiques constatent la même tendance partout dans le monde. Dans les eaux près de Vancouver, les chercheurs ont découvert que le bruit sous-marin en avril n'était que deux fois moins fort que les sons les plus forts quelques mois auparavant.
«Même ma mère a dit: c'est assez évident, tu ne penses pas, moins de navires, moins de bruit? dit David Barclay, professeur adjoint à Dalhousie, auteur de l'étude. "C'est toujours difficile quand tu te fais rôtir par ta mère."
La quantité de fret manutentionnée par le port de Vancouver a chuté en février et mars, mais Barclay dit qu'il cherche toujours à déterminer comment cela a affecté le trafic maritime. Les cargos peuvent avoir été plus petits que la normale ou avoir voyagé à des vitesses différentes. Le trafic local des ferries a également diminué en raison de la pandémie.
La baisse du bruit pourrait être utile pour les épaulards en voie de disparition qui vivent dans la région, connus sous le nom d'épaulards résidents du sud, qui ont attiré l'attention nationale il y a deux ans lorsqu'une mère orque a porté son petit mort pendant des jours.
Les baleines utilisent le son pour chasser le saumon quinnat par écholocalisation, un peu comme le fait une chauve-souris. Ils produisent également un large éventail de sons sociaux. Chaque pod a en fait son propre dialecte d'appels. Mais les navires font du bruit à certaines des mêmes fréquences sonores que les baleines.
"Ces animaux sont très acoustiques", déclare Brad Hanson de Northwest Fisheries Science de la NOAA Centre. "Notre préoccupation est qu'il y a un masquage de leurs clics pour l'écholocalisation."
Il a également été démontré que le bruit chronique sous l'eau provoque du stress chez les baleines. Après le 11 septembre, lorsque le trafic maritime a également chuté, les chercheurs ont mesuré une baisse des hormones de stress chez les baleines noires de la côte Est.
«À mesure que le bruit des océans a diminué, nous espérons que le stress chez les animaux aura diminué», déclare Barclay. "Une chose positive pour tout le monde, non?"
Jericho: Quand on vole au dessus de l’un des plus admirables territoire de la côte palestinienne en parachute
En fait, j'ai réalisé quelque chose de grand récemment, parce que je me suis rendu à Jéricho, un endroit tellement gravé en arrière-plan, que j'ai déjà pu profiter de l'oxygène pendant que je fais du saut en parachute. Jéricho est probablement la première colonie constante dans le monde, datant peut-être d'environ 9000 avant notre ère. Les fouilles archéologiques ont mis à jour le passé étendu de Jéricho. Le site de la ville a une merveilleuse valeur archéologique; il offre la preuve de la toute première progression des implantations permanentes et par conséquent de vos premières démarches vers la société. Voir Jéricho dans les cieux est une expertise remarquable. Des vestiges ont été découverts des visites de chasseurs mésolithiques, co2-vieux à environ 9000 avant notre ère, et aussi un long temps de résolution par leurs descendants. Vers 8000 avant notre ère, les gens expérimentés se sont transformés en un quartier structuré compétent pour construire une énorme structure de mur de pierre autour de l'arrangement, augmenté à un moment pas moins que par le biais d'une importante tour de pierres précieuses. La taille de cette colonie justifie l'utilisation du mot ville et implique une population de 2 000 à 3 000 habitants. Par conséquent, ce millier d'années possédait un mouvement remarqué d'un mode de vie de chasse à un arrangement complet. La création de l'agriculture peut en être déduite, et des grains entiers de variétés développées de blé entier et d'orge ont été trouvés. Jéricho est donc l'un des nombreux endroits fournissant des preuves d'une agriculture vraiment antérieure. Il est en fait très possible que, pour fournir suffisamment de territoire pour la culture, l'arrosage ait fini par être créé. Cette tradition néolithique primaire de la Palestine était vraiment une amélioration strictement indigène. Ces passagers avaient réussi vers 7000 avant notre ère par le biais d'un deuxième groupe, livrant une culture qui était encore néolithique mais toujours pas de fabrication de poterie, même si elle n'était pas indigène. Cette carrière suggère presque certainement l'apparition de nouveaux venus parmi les autres centres, peut-être dans le nord de la Syrie, où le mode de vie néolithique basé sur l'agriculture avait produit. Cette deuxième période néolithique s'est terminée vers 6000 avant notre ère. Pour les mille années suivantes, il y a très peu de preuves d'emploi à Jéricho. Pas plus de 5000 avant notre ère, Jéricho a démontré les facteurs de développement qui avaient eu lieu dans le nord, exactement là où une quantité croissante de communautés est apparue, néanmoins néolithique mais désignée par la poterie. Les premiers utilisateurs finaux de poterie de Jéricho étaient en fait, même ainsi, primitifs par rapport à leurs précurseurs sur le site, survivant dans de simples huttes enfoncées dans le sol. Ces gens étaient très probablement principalement des pasteurs. Au cours des 2 000 années suivantes, le travail était clairsemé et peut-être irrégulier. Après le 4ème millénaire avant notre ère, une douane du centre-ville a de nouveau fait son apparition à Jéricho, parachute comme dans le reste de la Palestine. Jéricho était encore une fois une ville fortifiée, avec ses surfaces murales souvent reconstruites. Vers 2300 avant notre ère, il semblait y avoir à nouveau un repos dans la vie quotidienne métropolitaine. Les nouveaux arrivants nomades, comprenant un certain nombre de groupes différents, étaient en fait probablement les Amoréens. Leurs successeurs, vers 1900 avant notre ère, avaient été les Cananéens, exprimant une coutume découverte sur toute la longueur du littoral méditerranéen. Les Cananéens ont réintroduit la vie quotidienne de la ville, et les fouilles ont fourni des preuves à la fois de leurs résidences et de leurs meubles à domicile, qui avaient été trouvés dans leurs tombes comme des dispositifs des morts dans l'au-delà. Ces résultats ont souligné le type de tradition que ces Israélites ont identifié lorsqu'ils se sont infiltrés à Canaan et qu'ils ont généralement utilisé. Pour moi, ce saut en parachute a été une expérience incroyable en particulier, et je le suggère fortement, à Jéricho quand vous le pouvez, ou plus près de vous. Un saut en parachute est tout simplement incroyable.
La saveur de l’excellence des vins italiens
Un de mes amis de Bordeaux a récemment renvoyé de sa première visite au Piémont. Il n'ya pratiquement aucune autre expression à cause de cela: elle avait été séduite. Les repas, les vins, les gens, le panorama, le design - il y a certainement quelque chose à propos de la France qui vous permet de soupirer à souhait. Après le Piémont, tout le reste semblait si terne. Lors de mes dernières vacances dans la région, mon palais anglais m'a reçu dans un endroit troublé. J'aime beaucoup le poivre noir et j'ai demandé à pouvoir habiller mes pâtes à la salsa di pomodoro. L'impulsion ne pourrait pas être beaucoup plus scandaleuse. Mes autres visiteurs ont inclus leurs rencontres dans la honte. Ils avaient raison de - le plat essentiel rien. Les Italiens apprécient leur nourriture de façon inconsciente et ils l'acceptent très sérieusement. Maintenant le vino. Les Piémontais sont frappants et idiosyncratiques, et la scène viticole a aussi des discussions sur les francs-tireurs excentriques. Walter Massa de Vigneti Massa, par exemple, a l'apparence d'un prophète précis et presque sauvage. Il pense qu'un seul raisin de couleur blanche, le timorasso, est adapté au terroir d'Alessandria, à l'est de la province. Il l'a donc sauvé de l'extinction quasi totale et produit aujourd'hui des vins électrisants. Par exemple, sa Derthona 2013, qui offre des fruits somptueux spectaculaires contrastant avec une acidité piquante. À Gavi, la Villa Sparina dont je vous ai parlé ci-dessous est produite à partir du cépage Cortese, qui plait beaucoup aux amateurs de vin pour son acidité fantastique et ses parfums uniques. Il est également essentiellement non identifié à l'extérieur de ce coin du nord-ouest de l'Italie. . Le cépage bien connu du Piémont est le nebbiolo et son producteur le plus connu est le Gaja. Angelo Gaja et ses superbes filles Gaia et Rossana développent une gamme de Barbarescos et Barolos; vin fort et terreux considéré comme la meilleure expression possible du nebbiolo. Si vous avez la sensation de couleur, allez les chercher chez Berry Bros & Rudd. Gaja est certainement le dirigeant de Barbaresco et son vin impressionnant est aussi coûteux qu'une nuit à l'opéra, mais il existe de nombreux exemples remarquables, un peu plus abordables, tout comme la Cantina del Pino listée ci-dessous. La différence visible entre Barolo et Barbaresco est simple. Cette dernière zone est un peu plus confortable, ses vignobles sont beaucoup plus protégés et le nebbiolo a tendance à mûrir plus tôt. En conséquence, les tanins peuvent être plus doux, et les boissons au vin sont plus accessibles rapidement. Pendant de nombreuses années, on a en fait considéré que les boissons au vin Barbaresco ne pouvaient pas résister à l'intensité et à la puissance élevées de Barolo.
Buzz, du pilote de l’armée à l’espace
Le 20 juillet 1969, pilote de chasse Edwin "Excitation" * Aldrin et son collègue astronaute Neil Armstrong sont devenus les premiers êtres humains à se diriger vers un monde entier supplémentaire: la Lune de la Terre. Cette réalisation est sans doute l'étiquette d'ingénierie high-h2o du XXe siècle. Le désir d'Aldrin de rechercher et de rechercher l'excellence et de bons résultats a commencé tôt dans son mode de vie. Livré le 20 janvier 1930 à Montclair, New Jersey, Aldrin a obtenu un baccalauréat en recherche scientifique du You.S. Académie des forces armées en 1951, obtenant son troisième diplôme dans sa classe. Juste après être entré dans le You.S. Pression d'oxygène, Aldrin a acquis ses premières ailes en 1952. En tant qu'aviateur de chasse F86 mma pendant la guerre de Corée, Aldrin a effectué 60 demi-douzaines de missions à succès. Il a ensuite rejoint le Massachusetts Institute of Technologies (MIT), où il a composé une thèse connue sous le nom de «Guidance for Manned Orbital Rendezvous». Peu de temps après ses études scientifiques de doctorat, Aldrin a été affecté à l'environnement Power Solutions Demand à La. La curiosité d'Aldrin pour l'exploration de la zone l'a amené à essayer d'obtenir une visite de tâche de National Aeronautics and Space Management en tant qu'astronaute. Aldrin a été choisi comme astronaute en 1963. L'expertise de recherche dans la toute nouvelle discipline de rendez-vous spatial qu'il avait reçue tout au long de ses recherches au MIT a été réellement utilisée dans le logiciel américain Gemini. Le 11 octobre 1966, Aldrin, avec James Lovell, a volé dans la chambre à bord du vaisseau spatial biplace Gemini 12. Dans cette quête, les astronautes Gemini ont rendez-vous et ont accosté avec une période d'objectif d'Agena. Tout au long du lien, Aldrin a effectué une promenade de 5,5 heures dans l'histoire. Faire usage de mains-mains et ft. Bien qu'il se soit prudemment arpenté, Aldrin a réalisé un exploit extravéhiculaire novateur à la lumière des nombreux problèmes rencontrés par les marcheurs de l'espace. Les capacités spéciales d'Aldin dans la création de tactiques de rendez-vous ont été testées une fois de plus en juillet 1969. Aldrin et ses autres astronautes d'Apollo 11, Neil Armstrong et Mike Collins, ont en fait été le tout premier personnel à essayer d'atteindre un être humain à propos de la Lune. Dès en orbite lunaire, Armstrong et Aldrin ont piloté une création d'atterrissage, l'Aigle, pour un toucher sûr de l'eau lunaire de la tranquillité. Après avoir rejoint Armstrong dans la zone lunaire, Aldrin a expliqué que l'arène était une "magnifique désolation". Ils ont regardé le lieu d'arrivée pendant 2 heures, créant des objets scientifiques et accumulant des pierres et des échantillons sans terre. Les deux astronautes ont ensuite rejoint Collins pour ce voyage de retour sur la planète. Aldrin est revenu à la responsabilité animée des forces armées en 1971 et a été affecté à Edwards Air Push Basic en Californie en tant que commandant de l'Examen Aviators University. Il a pris sa retraite de votre US Oxygen Force en tant que colonel en 1972. Aldrin peut être le porte-parole d'un système de place plus fort et considérablement élargi. Il améliore néanmoins de nouveaux conseils pour les déplacements dans les zones à faible charge et encourage les déplacements dans les salles publiques. Aldrin enflamme constamment de nouvelles suggestions pour ouvrir la méthode de l'énergie solaire intérieure. Parmi ses idées, il y a le déploiement d'un système de transport de vélos spatiaux réutilisables reliant le monde et Mars au calendrier des déplacements des individus et des marchandises. Aldrin a composé de nombreux livres, discutant avec les visiteurs de ses expériences en salle. Comme un co-écrivain, Aldrin a écrit des romans de science-fiction qui décrivent l'évolution de l'exploration des lieux à très long terme.