Évolution du financement de l’innovation
Les changements dans le domaine du financement offrent de nouvelles possibilités de financer l’innovation. Les politiques peuvent utilement favoriser l’apparition de modalités de financement par capital-risque, quand les conditions de base sont réunies (notamment une activité de haute technologie significative et la possibilité de créer une masse critique de nouvelles entreprises dans les secteurs de pointe), et la mise en place de réseaux actifs d’investisseurs providentiels, notamment en soutenant la mise à niveau des entrepreneurs. Si l’absence de places boursières dynamiques constitue un obstacle au développement du capitalrisque, cet écueil peut être évité en réalisant l’introduction en bourse sur des places étrangères ou régionales, ou en introduisant des petites et moyennes entreprises (PME) sur des marchés secondaires (de façon à rendre les investissements de capital-risque plus liquides et donc plus attrayants), ce qui peut aussi créer des moyens supplémentaires de financement par capital-risque. L’investissement à impact est aussi un moyen potentiel de financement de la STI pour les objectifs de développement durable qui mérite d’être examiné plus avant, compte tenu de son orientation vers les objectifs sociaux et environnementaux, même s’il est surtout centré à l’heure actuelle sur les pays développés et les entreprises privées matures. Le financement participatif offre lui aussi des possibilités, mais : a) comme l’investissement à impact, il existe actuellement surtout dans les pays développés ; b) il concerne surtout les projets sociaux et artistiques et les activités immobilières ; c) il consiste en grande partie en des dons, des avantages et des préventes ; et d) son échelle est assez réduite. Avant de promouvoir le financement participatif, les gouvernements des pays en développement devraient en examiner es risques et prévoir le cadre réglementaire approprié, particulièrement en ce qui concerne le financement participatif par capitaux propres. Les fonds d’innovation et de technologie financés par le secteur public, les bailleurs internationaux, les banques de développement ou le secteur privé sont devenus un moyen important de financement de l’innovation dans les pays en développement. Ils ont l’avantage d’être assez rapides à mettre en place, d’offrir une certaine souplesse de conception et de fonctionnement, et de pouvoir cibler certains secteurs, activités ou technologies et soutenir des objectifs stratégiques, ce qui les rend complémentaires de la spécialisation intelligente et des plateformes de découverte économique. Toutefois, leur succès dépend en partie de la vigueur du système d’innovation ainsi que de leur qualité de conception. En résumé, ces nouvelles approches offrent des possibilités de s’appuyer sur les principes fondamentaux plus généraux de la politique de STI pour promouvoir une innovation orientée vers le développement durable. Mais la contribution potentielle presque illimitée de la technologie et de l’innovation au Programme de développement durable à l’horizon 2030 ne pourra être réalisée que si l’action menée aux niveaux national et international est à la hauteur du niveau d’ambition sans précédent fixé par les objectifs de développement durable eux-mêmes.
L-39 à la Roche
Si les avions de chasse russes ont brillé par leur absence dans le ciel du Bourget cette année, on peut dire que la Russie n'était pas moins présente que d'habitude au sol. Les visiteurs ont en effet pu voir de nombreux statiques, tels que des chasseurs Su-35, des hélicoptères de combats Ka-52, ou encore des systèmes sol-air Igla-S.
Certains se sont étonnés (voire même indignés) qu'elle soit aussi bien représentée, au vu du contexte politique actuel : les Européens ont en effet décidé en juillet 2014 d’imposer un embargo sur les achats et les ventes d’armes, de matériel militaire et de biens à double usage militaire et civil provenant de Russie. Cette décision est évidemment à mettre en lien avec la crise en Ukraine. Pourtant, en dépit de cet embargo, le pays était représenté lors du salon par 37 sociétés. Parmi elles, on pouvait notamment compter neuf producteurs d’équipements militaires et de matériel de combat: MiG, Soukhoï, Tupolev, Hélicoptères de Russie, et même Rosoboronexport, l’agence russe chargée des exportations du complexe militaro-industriel du pays. Cette présence peut surprendre, et même paraître provocatrice de la part de la Russie. Mais il n'en est rien. Si cette présence a suscité des réactions, il faut comprendre que les exposants russes ont tout à fait le droit d’être présents. La Russie est en effet un participant permanent du SIAE depuis 1957. Elle était présente durant la Guerre froide. Aux pires moments de cette période de l'Histoire, les avions soviétiques étaient toujours aussi présents au Bourget. L'embargo décrété par l'Europe est avant tout de nature politique, et ne doit pas avoir d'influence sur le Bourget, qui est un salon économique. Les industriels ont l’habitude de ne pas mélanger business et considérations politiques du moment. Les tensions actuelles ne doivent donc pas avoir d'incidence sur le commerce. La polémique suscitée n'en est à mon sens pas une.
En ce qui me concerne, et en dehors de toute considération politique, mon seul regret lors de ce salon aura été l'absence de show aérien de la part de la Russie. Non seulement les démonstrations russes sont toujours très appréciées, mais les démonstrations ont été de manière générale particulièrement rares pour cette 51e édition. En espérant que la prochaine édition soit un peu plus ouverte au public... Encore plus d'information sur cette expérience de baptême en L39 à La Roche sur Yon en cliquant sur le site de l'organisateur.
Le défi des déchets
Les problématiques des déchets alimentaires et des déchets d’emballages plastiques sont traités dans le cadre du Paquet sur l’économie circulaire de l’Union européenne, ainsi que de nombreuses initiatives ou stratégies locales ou nationales. Il est nécessaire toutefois de faire plus pour connecter ces discussions. Au niveau européen, cela pourrait se faire au travers de la Stratégie sur les plastiques dans une économie circulaire, récemment publiée, ainsi que dans le prochain projet de Paquet sur l’alimentation 2018, qui devrait inclure une proposition législative portant sur la chaîne d’approvisionnement alimentaire de l’Union européenne. Pour les décideurs politiques et les parties prenantes, les mesures essentielles seront : • Élaborer une approche systémique et factuelle du rôle de l’emballage plastique dans le système alimentaire, en identifiant les facteurs sous-jacents à la production de déchets alimentaires et leur liens avec les emballages plastiques. Cette approche devrait inclure des évaluations plus complètes (y compris des analyses du cycle de vie) et l’intégration de nos connaissances sur les déchets marins et les impacts sanitaires de la migration chimique. • Passer en revue les législations pour identifier et combler les vides, afin de lutter contre le double défi des déchets plastiques et alimentaires. Cela inclut l’adoption d’objectifs de réduction des emballages plastiques à usage unique, le développement des emballages réutilisables et la révision des critères d’écoconception, des normes esthétiques et de l’étiquetage. • Utiliser des instruments de marché pour provoquer des changements de comportement, afin d’éviter les déchets alimentaires et plastiques et conserver les ressources dans l’économie. Pour cela il est possible de s’appuyer sur les marchés publics verts, les filières à responsabilité élargie des producteurs, les systèmes de consignes et une taxation progressive du plastique vierge. • Réaliser plus d’investissements et de financements dans les systèmes de prévention des déchets y compris dans les systèmes zéro emballage ou de réutilisation des emballages, ainsi que dans une meilleure intégration des chaînes d’approvisionnement courtes entre les zones rurales et urbaines, en mettant l’accent sur les détaillants et les petites et moyennes entreprises.
Comment j’ai fait s’écraser un Boeing
Roissy, lundi dernier. Après un briefing où je découvre les paramètres à prendre en compte pour réussir son vol, je peux enfin passer à la pratique : j'entre dans le cockpit du 757 et me place sur le siège du pilote, tandis que ma grande soeur se place sur l'un des sièges à l'arrière. Aujourd'hui, je serai le commandant de bord. Mon moniteur prend place à ma droite, sur le siège de premier officier. Il me sera utile, étant donné que je n'ai jamais piloté un tel appareil. Je serre ma ceinture à cinq points d'ancrage et mets mon casque, puis procède à l'incontournable checklist. Après avoir tout soigneusement vérifié, mon pilote instructeur m'informe que je suis paré. Je demande alors à la tour de contrôle la permission de décoller. Un peu nerveux, je pousse la manette des gaz à fond. L'appareil accélère et tout le cockpit se met à vibrer. Alors qu'approche le bout de la piste, j'incline l'appareil à 15° et celui-ci quitte enfin le sol. C'est prodigieux ! J'ai réussi à faire décoller ce 757. Je n'étais pas certain de pouvoir le faire. Je me retrouve collé au siège tandis que nous montons. A 1500 pieds, je rentre le train d'atterrissage ; à 2000 pieds, je prends un virage à 45° et monte à 3000 pieds pour passer en pilotage automatique. Vous trouvez peut-être étonnant qu'une compagnie aérienne ait laissé un débutant piloter un tel appareil, surtout après la tragédie de Germanwings. Et vous avez raison. Mais ce n'est pas un véritable Boeing. Je suis dans un simulateur de vol. Rien à voir avec un FlightGear, pourtant. Il s'agit ici d'un simulateur professionnel, utilisé par les compagnies aériennes pour former leurs pilotes de ligne. Ce simulateur a été ratifié par la DGAC et le cockpit est la réplique d'un 757 jusque dans les moindres détails. La cabine est placée sur vérins hydrauliques, ce qui permet de ressentir toutes les sensations d'un vol réel : poussées, turbulences, et tout le tralala. En plus, le vol est à la carte, c'est-à-dire que l'on peut non seulement choisir l'aéroport d'envol (parmi plus de 24000), mais aussi les conditions de vol (météorologie, panne éventuelle, etc). Personnellement, j'ai opté pour un trajet de Genève à Lyon, de jour et par temps orageux. Et en ce qui concerne l'orage, je peux dire que j'ai été servi ! Le 757 n'a jamais atteint l'aéroport de Lyon, pour finir... Et le simulateur était si réaliste que ma soeur a crié comme s'il s'agissait d'un véritable crash ! Pour en savoir davantage, je vous recommande la lecture du site sur cette expérience de simulateur de vol à Marseille qui est très bien fait sur le sujet.
Politiques de référencement et de mise en avant des contenus dans les magasins d’applications
Au-delà de la question du traitement des contenus sensibles, les magasins d’applications jouent aujourd’hui un double rôle dans la mise à disposition des contenus sur smartphone. D’une part, ils jouent un rôle de référencement, à l’occasion duquel ils peuvent opérer une sélection, avec différents motifs de restriction (lutte contre la fraude, respect des droits de propriété, protection de l’intégrité du matériel, etc.), dont certains peuvent du reste être complètement légitimes. D’autre part, au sein des contenus référencés, les magasins ont une fonction de moteur de recherche, ce qui signifie qu’ils appliquent inévitablement des classements. Or tout classement contient une part de subjectivité qui, même bien intentionnée, ne peut être compatible avec un objectif de neutralité. En conséquence, l’ouverture d’internet est remise en cause par les terminaux s’il n’est pas possible de contourner le magasin d’applications lié au système d’exploitation, puisque les utilisateurs n’ont pas d’autre possibilité, pour choisir les applications qu’ils souhaitent télécharger, que de passer par le prisme du moteur de recherche affilié au magasin. De manière générale, les politiques de référencement et de mise en avant des contenus dans les magasins d’applications peuvent manquer de transparence. En effet, les politiques éditoriales des magasins d’applications ne sont pas toujours documentées et pourraient reposer sur des critères contraires à l’objectif d’un internet ouvert. Les effets potentiels de telles politiques pourraient être particulièrement sensibles lorsque le système d’exploitation du terminal ne permet pas d’installer de magasin d’applications alternatif, ou de télécharger des applications en dehors du magasin. Une telle contrainte est particulièrement visible dans les univers intégrés comme celui d’Apple ou de certaines consoles de jeux. Outre les justifications techniques affichées, telles que la sécurité et l’intégrité du terminal, ou la protection des données personnelles, il est possible que certaines limites résultent en réalité de choix commerciaux : les magasins d’applications peuvent privilégier des services verticalement intégrés en entravant le bon fonctionnement des applications concurrentes, qu’il s’agisse de musique, de vidéo ou de presse. L’entrave ne passerait pas nécessairement par un blocage réel des applications visées : elle pourrait prendre la forme d’une durée d’homologation allongée pour certaines applications candidates à l’accès à un magasin d’applications. L’Arcep, qui participe au financement d’une application de détection des infractions à la neutralité d’internet, appelée « Wehe » et développée par la Northeastern University, a été elle-même confrontée au problème du référencement des applications. Une première version de cette application a été proposée pour intégrer l’App Store d’Apple en janvier 2018, mais celle-ci s’est vu opposer un refus, sans qu’il soit possible de voir en quel point cette application contrevenait aux conditions d’usage de l’App Store. Si l’application a finalement pu être intégrée à l’App Store après réclamation, le cas illustre les difficultés auxquelles peut être confronté un simple développeur, qui n’aurait pas eu les mêmes moyens que l’Arcep pour faire valoir ses droits.
L’Afrique en groupe
En général, les gens découvrent qu'ils vieillissent en soufflant leurs quarante bougies. Personnellement, ça ne m'a pas fait cet effet. C'est plutôt en voyageant récemment avec mes semblables que la vérité m'est apparue. Dernièrement, j'ai en effet accompli un voyage de groupe à Durban en Afrique du Sud avec ma femme. Je peux vous garantir que ce voyage a fait parler nos amis ! Il faut dire que jusque là, nous avions toujours été des adeptes du voyage de dernière minute : nous achetions notre vol et avisions la suite une fois arrivés à destination. Inutile de dire que le voyage de groupe sort « quelque peu » de notre routine. Et comme vous pouvez vous en douter, nous l'avons parfois regretté : je n'oublierai par exemple jamais cette nuit interminable où nous avons dû dormir à la belle étoile sous la pluie, sans même un poncho ou un parapluie. Pourtant, cela ne nous a jamais dégoûtés. A vrai dire, nous n'avons même jusqu'alors jamais penser pouvoir procéder autrement. Nous avons toujours fait en sorte de rester à l'écart des flots des touristes. Le simple fait qu'on puisse clopiner derrière un guide qui précède le groupe à l'aide d'un petit drapeau nous a toujours semblé délirant. Et ça nous semble toujours délirant, en réalité. Mais il y a quelques mois, en recherchant des bons plans voyage, nous sommes tombés sur une agence procurant des voyages de groupe un peu différents. Ceux-là comportent pas mal de temps libre, et chacun peut y faire comme bon lui semble. La formule nous a paru intéressante, et même si nous n'étions pas sûrs de nous, nous nous sommes jetés à l'eau. Et en tout état de cause, nous n'avons pas eu à nous plaindre. Avec ce système, on peut clairement associer les avantages des voyages solo et groupe. Et si j'avais quelques doutes en m'y rendant, j'ai été au final captivé par cette expérience. A tel point qu'à mon avis, ma femme et moi risquons de réitérer ! Si vous n'avez jamais tenté, je vous conseille de regarder du côté de ce genre de formule. Voilà le lien du site de l'agence par laquelle nous sommes passés pour voyage. Pour plus d'informations, allez sur le site de de l'organisateur du voyage groupe en Afrique du Sud et retrouvez toutes les infos.
L’UDI à la dérive
Dans les mouvements de plaques tectoniques qui ébranlent l’espace politique depuis la disruption macronienne, l’évènement est passé inaperçu, sauf pour les férus d’histoire politique et ceux qui ont encore en mémoire LaRépublique radicale ? (1898-1914) de la regrettée Madeleine Rebérioux. Quoi donc? Mais la réunification de la famille radicale, divisée depuis quelque quarante-cinq ans. Ce sera l’occasion d’évoquer les recompositions actuelles du centre de l’échiquier politique et leur signification dans le contexte actuel… Fondé en 1901, mais remontant à une tradition plus ancienne (jusqu’en 1848 voire avant), le Parti radical est le plus vieux parti de France. On ne reviendra pas ici sur son âge d’or avant 1914, sa place encore dominante dans l’entre-deux-guerres (1919-1939), avec sa participation au Front populaire, ses turbulents Jeunes Turcs et ceux qui leur étaient assimilables (Pierre Cot, Pierre Mendès-France, Jean Zay), mais aussi ses déchirements et sa célèbre guerre «des deux Édouard» (Édouard Daladier, le taureau du Vaucluse, et Édouard Herriot, député-maire de Lyon, ou encore, sous la IVe République, les oppositions virulentes entre Edgar Faure et Pierre Mendès-France — l’un et l’autre n’y appartenant d’ailleurs plus sous la Ve République pour des raisons différentes. Du milieu à la fin des années 1960, les radicaux, encore unis, avaient balancé entre deux lignes. Ce fut d’abord l’union de la gauche qu’avaient concrétisé le soutien à la candidature de François Mitterrand lors de la présidentielle de 1965, puis la participation des radicaux, aux côtés des socialistes SFIO, de la Convention des institutions républicaines et de quelques représentants des clubs. Mais mai 1968 et l’élection qui suivit d’une chambre introuvable à l’écrasante majorité gaulliste poussèrent vers d’autres voies. Mai 1968 fut une rupture. L’Assemblée nationale dissoute, les élections législatives donnèrent une écrasante majorité au pouvoir gaulliste. la FGDS n’y résista pas. Quand, en 1969, de Gaulle démissionna après le «non» au référendum, le Parti radical ne soutint pas la candidature du socialiste Gaston Defferre (5% au premier tour), mais celle du président du Sénat, Alain Poher, champion du centrisme d’opposition. Pompidou fut élu, mais sous la houlette du bouillonnant fondateur de L’Express, Jean-Jacques Servan-Schreiber (dit JJSS), secrétaire général du parti en 1969, puis président de 1971 à 1979 (avec une interruption de deux ans), le Parti radical s’engagea, avec le Centre démocrate de Jean Lecanuet, dans l’aventure du «mouvement réformateur» qui ambitionnait l’émergence d’un centre moderniste, hostile à la fois à l’alliance avec les communistes et au pouvoir gaulliste.
Les développements du E-Learning
Les fournisseurs de contenu en ligne créent de meilleurs plans de cours pour les étudiants en ligne L'enseignement est une tâche très fastidieuse. Les enseignants doivent préparer des plans de leçon et faire des aides visuelles créatives pour donner des leçons aux élèves. Tout en enseignant le sujet, les enseignants doivent également prendre le temps de trouver une bonne stratégie pour rendre les leçons engageantes et non ennuyeuses. Ils se servent d'images, de coupures de journaux et de séquences vidéo comme aide visuelle pour s'assurer que l'expérience d'apprentissage éclairera l'esprit des élèves et, en même temps, appréciera l'apprentissage. L'éducation évolue à mesure que les demandes d'apprentissage augmentent; Les étudiants deviennent maintenant critiques dans le choix de la source de recherche pour les études. Cela s'applique également à la communauté en ligne. Le nombre de visites qu'un site Web acquiert dépend de son degré d'interactivité. Les étudiants qui font des recherches pour leurs devoirs considèrent le contenu, la conception du site Web et la précision dans le choix de leur site Web de recherche. Bref, les étudiants deviennent de plus en plus exigeants en matière d'apprentissage. L'avènement de l'Internet a cédé la place à une technologie améliorée d'apprentissage ou TEL, qui fait des vagues en raison de sa méthode d'enseignement moderne: Elearning. Cette prestation éducative révolutionnaire a attiré l'attention des étudiants, en particulier ceux de leurs études supérieures. Grâce à ce système d'éducation virtuel, les étudiants reçoivent des leçons d'un programme de cours d'éducation ou d'un instructeur en ligne. Les programmes d'éducation ressemblent beaucoup au style d'enseignement traditionnel dans les salles de classe. Ces programmes simulés consistent en des conférences, des quiz et des tests d'évaluation de chapitre ou de progrès. Les auteurs fournissent le contenu de ces programmes générés par ordinateur. ils conçoivent des façons de rendre chaque élément du programme aussi interactif que s'il s'agissait d'une véritable expérience d'apprentissage. Les auteurs doivent mettre en place des contenus créatifs pour les cours de formation en ligne. La bataille pour être le meilleur système d'apprentissage en ligne est à travers le contenu créé par les auteurs; ils doivent concevoir des moyens d'être au top du secteur de l'éducation en ligne. Les outils Elearning sont des applications logicielles que les fournisseurs de contenu utilisent pour créer des programmes d'apprentissage simulés. Il existe des logiciels qui peuvent aider à créer des quiz et des tests d'examen, il existe également des logiciels spécialisés dans la création de vidéos pédagogiques pour le contenu. Certains logiciels sont utilisés pour créer des animations flash complètes avec une piste audio qui aide les élèves à comprendre leurs leçons en ligne. La plupart des outils de création publiés aujourd'hui sont très conviviaux, même ceux qui n'ont pas de cours de formation en technologie de l'information peuvent utiliser ces outils de création récemment publiés. La compétition pour l'apprentissage en ligne est difficile. C'est pourquoi de nombreux auteurs en ligne et fournisseurs de contenu conçoivent de plus en plus de moyens créatifs et interactifs pour commercialiser le système éducatif en ligne. Les outils d'apprentissage en ligne sont la clé pour créer du contenu innovant et créatif au profit des étudiants en ligne en pleine croissance qui adoptent elearning comme professeur de classe virtuelle. A lire sur le site internet de du spécialiste SEO Agence.
Les advergames
Un advergame est une opération de communication construite autour d'un jeu vidéo, la plupart du temps disponible sur internet, sur le site lui-même ou en libre téléchargement (par exemple, Snake, de Volkswagen). L'idée consiste à mettre en scène les produits de la marque dans le jeu et de les intégrer à l'interactivité du jeu. Mais ce ne sont pas de simples jeux-concours car ils recherchent non seulement à promouvoir le produit, mais également à susciter l'intérêt du joueur pour le jeu, de manière à lui donner l'envie de le partager avec ses connaissances et déclencher un buzz positif. Un advergame peut avoir comme objectif simplement de récolter des adresses qualifiées ou alors de s'inscrire dans une démarche qualitative de construction d'image. Une étude menée en Grande-Bretagne en 2006 par Yahoo, l'agence interactive Skive Creative et l'agence média OMD, a montré que plus d'un tiers des internautes britanniques avaient déjà joué à un advergame. La croissance de cette technique marketing est liée à la démocratisation du jeu vidéo au travers d'internet et des réseaux, qui touche désormais toutes les catégories de population, et plus seulement ceux que l'on nomme les gamers. A noter que les 18-35 ans passent plus de temps à jouer qu'à regarder la TV. Les consoles de jeu comme la Wii et la DS, de Nintendo, ont introduit de nouvelles façons de jouer, plus accessibles, et qui s'adressent à une cible plus large qu'auparavant, notamment les femmes et les adultes néophytes. Comme les marques cherchent de plus en plus à "créer des expériences utilisateurs" ou à "créer de la relation" avec le consommateur pour le fidéliser et pour l'inciter au dialogue, elles se sont rendues compte que l'advergame est tout indiqué pour remplir cette fonction. Un advergame est une bonne façon de créer une relation immédiatement positive avec le consommateur, de lui faire vivre une expérience ludique, donc agréable. L'advergame a également l'avantage de surprendre l'internaute et d'être très intrusif, bien plus qu'une publicité TV ou radio, voire même qu'une bannière internet. Intrusif car le joueur va rester bien plus longtemps devant son écran avec le logo de la marque, ou du moins son entourage, sous les yeux que lors d'un spot diffusé à la TV entre le journal et la météo, lors de la pause pipi (!). L'advergaming est adapté pour des campagnes de buzz marketing, de branding, de formation… Il peut servir des objectifs de notoriété, d'image, et générer du trafic sur un site auquel il est associé. Il peut également permettre de recruter du personnel (qu'il faudra, bien sûr, fidéliser).
Imperturbable, même la tête à l’envers
Ces derniers temps, je suis imperturbable. Complètement imperturbable. Il y a peu, j'ai en effet testé une séance de voltige aérienne à Courtrai. Et depuis, paradoxalement, je suis plus paisible. Ce fut intense sur le moment, mais ça m'aide désormais au quotidien à garder mon calme. Quand je suis dans les embouteillages, je lève les yeux vers le ciel et retrouve les sensations que j'ai vécues là-haut. Je pense que toutes les expériences à fortes sensations qu'on fait servent à ça, en vérité : à voir ce qui est important. A comprendre que non, ce n'est pas si grave d'être dans les embouteillages pendant une heure ou deux : c'est un lieu pas forcément horrible où passer du bon temps, quand on y pense ! Et se souvenir de ça est précieux, surtout dans un monde où les incivilités sont quotidiennes. Cela évite de s'irriter inutilement face aux personnes qui conduisent n'importe comment pour gagner dix secondes. Réagir à ces incivilités est totalement inutile puisque l'on n'a aucun moyen de réprimer le comportement du conducteur concerné ; et ensuite, même si on en avait les moyens, il y en aurait 100 autres derrière pour agir de la sorte. De fait, il y a deux manières de vivre ce genre de situation : en faisant un ulcère, ou en savourant le moment présent. En plus, mieux vaut être dans ma peau que dans celle de l'autre. Le gars qui est prêt à tout pour grapiller quelques secondes n'est pas épanoui. Des chercheurs ont fait une expérience sur les rats, qui témoignait que les rats dominants mouraient plus vite que les autres : ils imposaient leur loi mais étaient en état de stress permanent qu'un plus jeune prenne leur place ! Alors ne faites pas la même erreur : laissez donc ces conducteurs dans leur urgence permanente et profitez. Que vous soyez dans les bouchons ou dans une file d'attente, quelle importance ? Ailleurs n'est pas mieux qu'ici, après tout ! Et si vous voulez vivre un de ces moments qui vous remet les idées en place, je vous recommande vivement la voltige aérienne : ce qu'on éprouve en vol est tout simplement génial ! Vous trouverez tous les renseignements utiles ici. A lire sur le site internet de cette expérience de voltige aérienne à Courtrai.